Terraclès avait fait une escale à la mer. Il avait décidé de faire cette escale pour se reposer, humant l'air de la mer. Il s'tait assoupit presque toute la matinée, rêvant de chasse et de course à cheval en forêt.  Il se réveilla l'estomac dans les talons et alla donc pêcher. Il attrapa une anguille et une dizaine de petits poissons et les mangea.  Lorsqu'il eut fini il se dit qu'un bon exercice lui irait bien. Il installa donc diverses cibles sur un parcours sur le sable, se mit sur sa jument et entama son entraînement de tir à l'arc à cheval. Les 5 premières cibles étaient faciles alors que mes autres étaient plus éloignés en fonction de leur emplacement. Il en eut 9 sur 10. Que devint la dixième flèche? Elle partit trop en hauteur et alla se planter un peu plus loin sur la plage. Il alla donc la chercher au trot se demandant comment il avait put rater son tire. Lorsqu'il trouva sa flèche, elle n'était pas plantée dans le sable ou quelque chose d'autre, elle était dans les mains d'une jeune femme.

"Excusez moi... Mademoiselle, pourriez vous me rendre mon bien? S'il vous plaît?"

Eleanorà se trouvais au bord de mer, elle avait marcher toute la mâtiner pour arriver ici. Elle voulait voir la mer depuis un moment déjà et elle avait décidé ce matin d'y aller car elle avait sentie l'odeur du vent marin. Elle avait trouver quelques fruits et plantes comestibles qu'elle avait mis dans une petite bourse de cuir. Elle s'était assise dans le sable pour se reposer un peu. Appuyer contre un tronc d'arbre échouer sur la plage elle somnolait.

Elle entendit un léger sifflement mais ne sent préoccupas que très peu mais quand une flèche se planta juste à côté d'elle, surprise elle roula de côte sur le sable et regarda d'où venait la flèche mais ne vit personne. Elle se releva et pris la flèche. Elle se dit "Cette flèche doit bien appartenir a quelqu'un." Elle partis alors à la recherche du propriétaire de cette flèche.

Elle ne marcha pas longtemps car au loin un jeune homme arrivait sur un magnifique cheval. Il arriva à son niveau et lui dit :

- Excusez-moi... Mademoiselle, pourriez-vous me rendre mon bien? S'il vous plaît?

Elle était vraiment très gêner et la lui tendit. Elle lui jeta un rapide coup d’œil et lui dit :

- Vous devriez faire attention la prochaine fois.

Elle se retourna et commença à partir vers les eaux pour profiter de son après-midi.

Terraclès s'arrêta devant la jeune femme qui lui rendit sa flèche et ne dit rien, descendant de sa monture pour remettre ses flèches là où elle devaient être. Puis il observa la demoiselle. Elle était de taille normale avec de longs cheveux bruns qui couvraient son visage où de beaux yeux verts luisaient à la lumière du soleil. Il reprit ses esprits et hocha la tête lorsque la jeune femme lui dit de faire attention la prochaine fois. C'est vrai qu'il aurait put tirer assez fort et toucher la jeune femme de plein fouet, ce qui lui aurait pesé gros sur la conscience. Il fit partir plus loin sa jument et regarda la flotte vers laquelle s'en allait son interlocutrice. Il écouta le bruit merveilleux de l'océan, ce bruit dans lequel on perd toutes pensées. Puis il remarqua au loin un assez grande vagues qui devait mesurer environ 1 mètre, tut au plus.

-Vous aussi vous devriez faire attention, mademoiselle.

La vague se rapprochait lentement. Quand à lui il était en train de tendre la corde de son arc, profitant de cette pause inopinée pour revisiter son arsenal. Il s'attarda aussi sur les vêtements de la jeune femme. Un longue robe bien cousue. Lui, simple paysan n'avait jamais vu quelqu'un porter ce genre de robe auparavant. Il en était presque envahit d'admiration ou d'un autre sentiment mais peu importe.

-Je suis... désolé si ma flèche vous en une quelconque façon gênée.

Elle était au bord de la mer à regarder les vagues se briser sur le sable blanc. Elle trouvait ça beau et paisible. Elle retira ses sandales et se rapprocha un peu plus de l'eau. Les vagues lui lécha les pieds. Une vague un peu plus grande que les autres la fis reculer. Elle entendit le jeune homme dire:

- Vous aussi vous devriez faire attention, mademoiselle.

Elle se retourna vers lui et le regarda. Ses cheveux blonds cachait de beau yeux bleu comme l'eau de la mer qui scintille au soleil. Elle baissa la tête et il lui dit:

- Je suis... désolé si ma flèche vous en une quelconque façon gênée.

Elle lui répondit:

- Ne vous inquiéter pas cela arrive à tout le monde.

Elle ne vit pas une vague plus tôt grande qui la mouilla de la tête au pieds. Ses cheveux collé sur son visage, elle ne voyait plus grand chose. Elle essaya d'avancer à l'aveuglette. Elle trébucha et se retrouva couverte de sable. Sa robe était complètement mouiller et l'eau de mer lui piquait les yeux. Elle se parla à haute voix:

- Et bah bravo! Je suis tremper maintenant!

Elle se rendit compte que le garçon n'était pas partis et elle rougit. Elle essora ses cheveux et mit du sable dessus. Elle était gêner de se retrouver dans une situation pareil avec se jeune homme.

Terraclès regarda la jeune femme dans l'intégralité de la scène. Tout d'abord elle se prit la vague qu'elle n'avait pas vu arrivé, puis elle tomba sur le sable qui lui colla sur tout le corps. Dans la tête de gens normaux, cela aurait fait rire mais Terra' sentit plus de l'inquiétude et approcha de la jeune femme, mouchoir à la main. Il lui essuya les yeux pour qu'elle y voit quelque chose et l'amena loin de l'eau. Il faisait soleil mais cela n'empêcherait pas à la jeune demoiselle d'attraper un rhume.

"Je vais faire un feu pour que vous puissiez vous sécher, il ne faut pas que vous vous enrhumiez"

Il commença à frotter deux silex sur des branches qu'il avait déjà dans ses affaires. Le feu prit très vite et Terraclès fit s'asseoir la jeune femme. Il ne savait plus quoi dire et alimenta pendant quelques minutes le feu. Se perdant des les lueurs rouges d'un dévoreur sans limites. Puis il sentit quelque chose sur son bras, les bandages. Ils avaient lâché et maintenant ils laissaient à l'air libre les vilaines cicatrices du passé. Il mit vite sa main gauche par dessus et détourna la conversation.

"Je ... me nomme Terraclès... et vous?"

Il lui essuya ses yeux qui lui brûlais et elle revoyais enfin quelque chose. Elle était vraiment gêner par ce qui venait de lui arrivée. Elle allait passer pour une gourde au yeux du jeune homme. Il lui dit alors :

- Je vais faire un feu pour que vous puissiez vous sécher, il ne faut pas que vous vous enrhumiez.

Elle se leva et regarda dans l'état ou elle était, sa robe était tremper et pleine de sable, ses cheveux tremper et plein de sable et surtout elle avait froids malgré le soleil. Le jeune homme fit un feu. Elle était bien contente qu'il soit là parce qu'elle aurait du attendre des heures avant de pouvoir repartir et puis au moins elle avait moins froids. Elle le regardais, quelque chose l'attirais, elle ne savait pas pourquoi mais le jeune homme avait quelque chose de spécial qui l'attirait comme un papillon vers une lumière. Elle le vit mettre sa main gauche sur son bras malheureusement elle était curieuse et allais poser une question quand il lui dit:

- Je ... me nomme Terraclès... et vous?

Prise au dépourvus elle répondit timidement:

- Eleanorà...

Voulant savoir ce que cachais le jeune homme elle lui demanda:

- Qu'avez-vous.... au bras?

Elle attendit sa réponse en le regardant a travers les flammes rouge qui le rendait beau.

Terraclès sourit en entendant le nom de la jeune femme. Eléanorà. Ce n'était pas un nom commun mais son sourire disparut lorsqu'elle lui demanda ce qu'il avait à son bras. Que dire, la vérité? Ou la masquer avec un mensonge qui passerait pour une presque vérité? Il fit non à lui même pour se dire que seul la vérité passait et que la sincérité amenait de meilleurs résultats que le mensonge.

-Et bien.... si vous voulez tout savoir, j'ai eu quelques altercations avec mon frère, ce qui à quelque peu dégénéré il y a quelques années.

Puis il se rapprocha du feu, cherchant à savoir s'il était assez chaud et sourit, espérant que son interlocutrice sèche ses vêtements assez vite. Puis il regarda autour d'eux et ne vit personne, personne qui cherchait la jeune fille, personne qui s'occuperait d'eux. Il releva la tête au dessus des flammes et demanda:

-Vous ètes seule ici mademoiselle?

Il lui répondis :

-Et bien.... si vous voulez tout savoir, j'ai eu quelques altercations avec mon frère, ce qui à quelque peu dégénéré il y a quelques années.

Il se rapprocha du feu et sourit. Elle regarda ses vêtements qui commençais. Elle regardais son visage mais surtout son bras. Elle se demandais comme l'on pouvait se disputer comme ça avec son frère, elle n'avait jamais frapper ni même gronder son petit frère. Il releva la tête au-dessus des flammes et elle vit mieux son visage, il demanda :

-Vous ètes seule ici mademoiselle?

Elle baissa la tête et répondis timidement:

-Oui ... je suis seule. Et vous?

Elle n'osait pas relever la tête car elle avait les larmes au bord des yeux. Si elle le regardais il allait remarquer qu'elle était sur le points de pleurer. Elle resta la tête baisser à regarder ses pieds dans le sable.

Terraclès regarda la jeune femme et vit une profonde tristesse dans son regard. Il s'en voulut de lui avoir demander. Peut-être qu'il lui avait fait revivre un souvenir atroce. Il s'en voulait et se remit à quelques centimètres du feu. Il réfléchit quelques instants avant de répondre en essayant de remettre de la gaieté dans l'ambiance.

-Et bien en ce moment je ne crois pas que je suis sol, n'est ce pas? Mais sachez que oui je suis seul depuis un moment d'ailleurs.

Puis il se leva et se mit à coter d'Eléanorà. Il lui tendit un mouchoir pour qu'elle puisse s'essuyer les yeux. Il ne voulait pas la blesser ou l'offenser.

-Je suis désolé si je vous est rappelé de mauvais souvenirs...

Il lui répondis:

-Et bien en ce moment je ne crois pas que je suis seul, n'est ce pas? Mais sachez que oui je suis seul depuis un moment d'ailleurs.

Elle eut un léger sourire, mais les larmes dans ses yeux ne voulait pas partir. Le jeune homme se leva et se mit à côté d'elle. Il lui tendit un mouchoir qu'elle pris dans sa main. Elle s'essuya les yeux et sentis le mouchoir, il avait une odeur de fleurs. Il lui dit :

-Je suis désolé si je vous est rappelé de mauvais souvenirs...

Elle releva la tête vers lui et lui dit:

-Ce n'est pas un mauvais souvenir, mais un beau souvenir que vous m'avez rappeler, il est juste douloureux...

Elle lui tendit son mouchoir et le remercia. Elle lui sourit et regarda ensuite le feu qui brûlait et éclairais la nuit. Elle lui demanda toute timide:

- Vous voulez bien rester avec moi jusqu'aux lever du jour? J'ai un peu peur de la nuit...

En vérité elle était terrifier par la nuit, mais l'avouez étais trop difficile.