Nom: Antiopé. Surnom: Je ne suis pas quelqu’un à qui on donne un surnom aussi facilement. Type: Humaine. Âge: On me dit souvent que je suis trop jeune pour être reine, mais cela n'empêchait pas ma mère d'être reine à 19 ans, alors que moi j'en ai 24. Cité d'origine: Thémiscyre Métier: Je suis Antiopé, reine de Thémiscyre. Aucun autre métier ne pourrait être mieux. Talents: Je manie les armes et mon corps de la meilleure façon possible. Dieux vénérés en particulier: Notre mère Artémis, déesse vierge Particularités: Les signes de victoires que je possède sur mon torse. Un par victoire de bataille.

HISTOIRE

Je ne suis pas une grande narratrice. Ça n’a jamais été mon fort. Assise sur mon trône au centre d’une salle ornée d’or et de pierres, mes yeux se fermèrent un peu plus chaque seconde. Quand Morphée fut passé, des images de mon enfance remontèrent : Une vallée, un fleuve, un cheval noir. Des souvenirs heureux passèrent, mais également d’autres qui ne pourront jamais partir. Je n’ai pas forcément eu une enfance facile. Ma mère, l’ancienne reine, ne m’autorisais pas à sortir dans Thémiscyre. Je me souviens, un jour, j’avais fugué par la fenêtre de la tour de ma chambre. J’avais accroché des draps que j’avais laissé glisser le long de la fenêtre. Mes premiers pas en ville étaient tout simplement magique, Littéralement. Pour une fois, personne n’allait savoir qui j’étais, mon nom, mon rang, mon sang. Cependant, comment le cacher quand la princesse Antiopé n’est que la seule enfant des Amazones ? La reine avait demandé à Zeus lui-même de me faire naître. Or, c’est Arès, ce dieu de la guerre et de la destruction, qui m’engendra. Les Amazones ont une sainte horreur de lui. Sa façon d’être, ses actes, sa justice. Tous les horripilés dans ce dieu sans fois ni lois.  A cause de cela et de la cupidité humaine, notre peuple est parti sur une île, l’île de Thémiscyre. Là-bas, il n'y a aucun homme. Seul un peuple de jeune guerrières était là, encerclé de montagnes, de forêts et d'océan.

Je me réveillai quand j’entendis mon nom.
- Ma reine, je suis désolée de vous déranger, dit une jeune femme en s’agenouillant aux pieds des escaliers montant à mon trône.
J’avais encore un peu la tête embrumée des souvenirs qui remontaient. Je massais lentement ma tempe droite, sans pour autant laisser passer mon désarroi.  
- Je t’écoute. Parle sans peur, ma sœur.
- Ma reine, un bateau vient d’accoster sur la plage Nord. Trois des nôtres sont parties en reconnaissantes, mais il se peut qu’il s’agisse...
- D’hommes. Les hommes arrivent.
Je me levais de mon trône, mon long manteau volant derrière. Les hommes, des êtres détestables, méprisables, faibles. Ses hommes sous l’emprise d’Arès, qui n’est que corruption et vengeance. Sous son contrôle, les hommes – et non pas les femmes – ne font que morts et désolation. Ils ne parlent pas, tout du moins pas avec leur langue.
Notre mission était celle-là, à nous les Amazones : aider les hommes à ne plus être sous l’emprise d’Arès.

- Les voilà, ma reine, me dit une amazone en pointant un bateau.
Ses voiles étaient repliées et sa coque était à moitié sur notre plage. Une dizaine de mes sœurs étaient à mes côtés. Il est vrai que je n’avais pas une vie facile, du fait que j’étais la seule enfant et que ma mère ne supportait pas que je sorte ou que je me batte. Mais je sue faire face à ses problèmes et devenir la reine Antiopé. Je gouverne un peuple de femmes guerrières, douées dans tous les styles de combats.
Du haut de la falaise, je pouvais voir des hommes marcher sur mon territoire. Sans les quitter du regard, je dégainer mon épée de ma main droite et pris mon bouclier dans mon dos de l’autre main.
- Mes sœurs ! Libérons ses hommes du contrôle d’Arès ! Donnons-leur la chance de partir rejoindre Hadès libre ! Pour notre justice !
Notre vision était telle que pour nous, tout homme était corrompu et il fallait le tuer pour le libérer de l’emprise d’Arès, en l’absence de pouvoir le tuer, lui. Les hommes ne sont que faiblesse et péché, ils ne nous servent qu’à nous reproduire.

En tuer quelques-uns ne changera pas le cours du temps.

PERSONNALITÉ

Être forte mais juste. Voilà les mots que je me répétais tous les matins en me levant à l’aurore. Je me devais d’être la personne guidant le fier peuple des Amazones. Leur reine se doit d’être droite, courageuse, impartiale, pas pleurer et câliner sa poupée. Même si nous ne croisons pas d’autre peuple sur Thémiscyre, il faut tout de même garder son peuple sous contrôle, même si les rébellions ne sont pas monnaie courante.
Il me faut également pouvoir un esprit stratégique et une bonne connaissance de l’art de la guerre. Nous faisons souvent quelques entraînements sur l’île, pour ne pas perdre nos acquis. Je me dois de pouvoir mener mon camp à la victoire, surtout quand ma seconde est mon adversaire.
Pour ce qui est de mes qualités qui n’ont aucun rapport avec la guerre ou le gouvernement, je ne sais rien. Vraiment. Vivre recluse dans sa tour ne m’a pas aidé non plus. Je ne connais rien à la gentillesse ou bien à la générosité. Quand je sortais le soir en cachette quand j’étais petite, je notais tout ce que je pouvais voir et apprendre des autres Amazones.
Maintenant que je suis adulte, tous ces concepts me sont encore totalement inconnus.

PHYSIQUE

De ce côté-là non plus, je n’ai pas été béni des Dieux et Déesses. Je vois beaucoup d’Amazones qui se préoccupent beaucoup de leur corps. Notre mère, paraît-il, était d’une beauté telle que même Arès lui succomba. Nous avons hérité d’elle notre corps extérieur, alors que nous tenons de notre... « père » notre corps intérieur. Même si je ne suis pas une des plus grandes, je fais sans nulle doute partie des plus combattantes. Ma peau est blanche comme la neige, mais me permet de mieux me camoufler. Mes membres sont longs, mais puissants. Mes doigts squelettiques me permettent de manier n’importe quelle arme et de tirer des flèches avec précision.
Les Amazones ont souvent les cheveux bruns et les yeux marrons et je n’échappe pas à la loi. En étant reine, je me vois offrir une couronne et des tresses en or. Mais je n’ai jamais aimé faire dans la soie. J’ai opté pour une couronne et des tresses en cuirs, qui sont beaucoup moins voyantes et plus faciles pour le combat. Avec ce rôle, la prêtresse m’a marqué à vie. Pour bien que je me rappel de mon rang et de mon sang. De ce fait, je possède une dizaine de symbole sacrés sur le haut du torse, tous obtenue pour victoire au combat.

Vous pensiez quoi, qu’Antiopé se roulait en boule dans son lit quand elle avait peur ?

Petit nom: Elodie
Pourquoi avez vous choisi ce personnage ? J’aurai préféré Wonder Woman, mais paraît cqu’sait pas possible :3
Comment avez vous découvert le forum ? Ololo.... si vous saviez ce que j’a dû faire pour tomber ici XD
Avez-vous lu le règlement ? Une chaussette, c'est déjà pas mal, mais avec deux, on se sent mieux. *bizarre bizarre quand même*
Un commentaire sur le forum ? Vous zêtes touz zolie zolie ^^

Umi sur Epicode.