Nom: Arès Surnom: Le fouteur de m*rde Race: Dieu Âge: Qu’importe l’âge d’un dieu, sa sagesse est sans limite ! (…PFOUAHAHHAHA !) Attributs:  Dieu de la guerre Symboles: Ses animaux consacrés sont le chien, le vautour et le sanglier. Il est souvent représenté avec son armure d’airain, son glaive, son bouclier et son casque de guerrier. Pouvoirs: Arès a le pouvoir d’accentuer la colère chez les gens pour les pousser à commettre le pire. Il dégage aussi une aura qui impressionne ses ennemis. On peut lui ajouter une force démesurée et une vitesse surprenante pour le colosse qu’il est, ainsi que tout un tas de capacités typiquement divine telle que le fait de transformer les gens en géranium, ce genre de trucs quoi. Dieux et déesses vénérés: La beauté d’Aphrodite, sans nul doute, est sujet à vénération… *air rêveur* Habitat/adresse: L’Olympe ou Thrace Particularités: /

HISTOIRE

Arès est le fils légitime d’Héra et de Zeus, ce qui lui a valu une place parmi les Olympiens. Pourtant, il a très vite montré une prédisposition à chercher la bagarre et s’est mis une partie de sa propre famille à dos qui voyait d’un mauvais œil les guerres qu’il provoquait ou qu’il encourageait de ci et de là. Quelle hypocrisie de la part des autres dieux, comme si eux-mêmes n’avaient jamais été à l’origine de conflits ! Au moins Arès avait l’honnêteté de le reconnaitre, lui, il ne s’en cachait pas. C’est au moins l’une de ses rares qualités : s’il doit vous enfoncer un couteau dans le ventre il vous le dira contrairement à certains autres membres de sa famille qui préfèrent le planter dans le dos.
Ses faits guerriers lui ont très vite valut la réputation d’être le dieu de la guerre et plus généralement des guerriers. Si son nom est souvent cité, il l’est généralement en mal et très peu de gens lui vouent un culte. Comment pourrait-on aimer la guerre sauvage, celle qui ne vise qu’à tuer froidement pour l’honneur et le plaisir ? Bien sûr je ne parle pas des spartiates qui cultivent la guerre comme certains entretiennent des grenadiers pour kidnapper et séquestrer des jeunes déesses innocentes… Ahum ! Ni des amazones dont il est le dieu protecteur et le père.  
C’est donc en Thrace que vit Arès lorsqu’il n’est pas sur l’Olympe ou en compagnie d’Aphrodite. Oh cette chère Aphrodite… il s’est perdu plus d’une fois dans ses bras et conçoit un désir plus fort et plus brulant à chacune de leur rencontre. Il aurait défié le monde pour elle si elle le lui avait demandé ! Enfin… n’allez pas non plus croire qu’il s’écrase à toutes ses volontés ! Seulement… et bien il a du mal à refuser quelque chose à la plus magnifique des déesses. Peut-être a-t-elle su éveiller en lui une certaine forme d’amour, qui sait ? C’est ainsi qu’arriva cette honteuse anecdote où Héphaistos les prit sur le fait et les piégea dans leur sommeil  avec l’une de ces créations perfide : un filet. Le dieu des forgerons prit ensuite un malin plaisir à convoquer tout l’Olympe pour venir admirer les amoureux en cage, nues. Cet évènement contraria Arès qui avait, jusque-là, toujours réussi à dissimuler ses rendez-vous. Toutefois, ce qui le toucha le plus fut de savoir sa belle déesse exposée aux yeux de tous ces idiots et l’humiliation qu’il lui en coutait. Cet abruti d’Hermès qui disait à Héphaistos qu’il aurait aimé être à la place de l’amant et tous les autres qui riaient ! Ah il lui aurait bien tordu le cou mais il ne pouvait plus bouger… fort heureusement, Poséidon négocia leur libération et mit un terme à cette horrible situation. Etant en tort et ne pouvant se venger dans l’immédiat, Arès passa ses nerfs sur le pauvre Alectryon qui était chargée de surveiller l’arrivée d’Héphaistos et qui s’était endormi en le transformant en coq, le condamnant pour l’éternité à avertir de l’arrivée du soleil.
En dépit de son mauvais caractère, Arès est capable d’éprouver de l’affection et il garde un œil sur ses progénitures qu’il protège de loin. Ainsi, le jour où sa demi-déesse de fille Alcipé fut violée par Halirrhothios, le fils de Poséidon, il le tua immédiatement. Il fut jugé pour ce meurtre par l'assemblée des dieux sur la colline d'Arès (Aréopage) à Athènes. Les dieux, partagés, finirent par l’acquitter et il échappa de peu à un bannissement de l’Olympe et à la perte de son immortalité… étonnamment, Athéna oublia sa rivalité et choisi de plaider sa cause aux côtés de Zeus, ce qui fit pencher la balance en sa faveur. Toutefois, Arès fut condamné à sa mêler aux mortels et à les servir pendant sept années. Oh oui, si les olympiens voulaient qu’il serve les humains il allait les servir… à sa manière.


 

PERSONNALITE

Dieu de la guerre et des guerriers, Arès est une créature fougueuse et passionnée… pour le sang et les massacres. Il est suivi de près par son funeste cortège composé de ses deux fils Phobos (crainte) et Deimos (épouvante), ainsi que d’Enyo (la guerre), Eris (la discorde) et les Kères (meurtre et mort violente). Son caractère impétueux et impulsif a tendance à le conduire dans des situations compliquées et à se mettre en conflit avec d’autres dieux ou déesses.
Ce n’est pourtant pas de sa faute s’il aime se battre ! Après tout qui a-t-il de plus beau qu’un homme qui se dépasse physiquement pour protéger sa vie et sa patrie ? Ainsi Arès cultive la loi du plus fort et affectionne le mode de vie des spartiates. Vous l’aurez compris, le dieu de la guerre n’est pas quelqu’un de très réfléchi. Il se fiche pas mal des lois ou de la justice, à ses yeux seul le plaisir de guerroyer compte. Aphrodite est l’une des rares à réussir à canaliser les pulsions meurtrières de son amant en transférant cette hargne en quelque chose de plus doux et de tout aussi intense… inutile d’en dire plus, je laisse votre imagination travailler.
Si vous parvenez à passer outre cette agressivité et à obtenir l’honneur de gagner le respect d’Arès en vous faisant bien voir de lui, vous pourrez peut-être vous rendre compte qu’il n’est pas profondément mauvais. Arès peut parfois se montrer loyal dans une certaine mesure, tendre aussi… Sa relation avec Aphrodite le prouve, c’est un bon amant puisqu’elle l’invite régulièrement à partager sa couche. Il répond presque toujours à l’appel de ses enfants, malheureusement il arrive parfois trop tard… comme tous les olympiens, Arès est un dieu très occupé et il ne peut pas toujours se libérer spontanément. Très souvent, quand quelqu’un a tué ou violenté ses fils ou ses filles, il rentre dans une rage folle et s’attaque à l’agresseur. Il est à noter que ces mêmes agresseurs sont parfois guidés par la main d’Athéna…

PHYSIQUE

Arès est généralement représenté par les mortels revêtu de son armure d'airain, la tête couverte du casque étincelant, à la crinière ondoyante, il brandit une lance ou un glaive, et son bras est protégé par un bouclier. C’est une tenue de guerre qu’il aime arborer car elle impressionne ses ennemis. Mais il y a quelqu’un sous cette armure, un dieu que je vais me charger de vous décrire.
Arès mesure environ 1m95 et a le corps taillé par la guerre, il suffit de regarder ses muscles pour le comprendre. Son apparence a tendance à faire peur aux gens et il dégage un charisme et une violence qui peut pousser les guerriers les plus courageux à prendre leurs jambes à leur cou. Etonnamment, son visage n’a pas l’agressivité que son cœur exprime tant, il est même plutôt charmant (assez pour plaire à la belle Aphrodite en tout cas). Ses yeux sont vert sombres mais on peut y voir des flammes danser lorsqu’il est en colère (ce qui arrive assez souvent) et ses cheveux sont auburn, une couleur qui reflète plutôt bien le brasier qui le consume de l’intérieur. Bien sûr, il est capable de changer d’apparence comme tous les dieux mais si vous le rencontrez sans son casque c’est généralement cette forme que vous découvrirez.

(Bienvenue ♫ ! Tout est facultatif, bien sûr.)
Petit nom: Lisa
Pourquoi avez-vous choisi ce personnage ?
Comment avez-vous découvert le forum ? DC d’Andrea
Avez-vous lu le règlement ? Et ta sœur ?
Un commentaire sur le forum ? La rentrée lui réussit bien on dirait !