*Que...*


Quelques heures plus tôt, Terraclès vagabondait dans les bois à la recherche de plantes que lui avait demandé de rapporter un un marchant en échange de flèches. Les bois l'empêchaient de continuer à cheal mais il ne se plaignait pas de cette petite balade qui faisait tant de bien. Il en profita pour regarder le paysage dessiner par les majestueux arbres et respirer l'air pur dégagé par la forêt au petit matin. Il trouva les plantes mais passa à coté d'une belle biche. Assez grande pour lui permettre d'en vendre la moitié à bon prix et de manger le reste. Il la prit en chasse mais pas à cheval pour ne pas l'alerter. La bête s'avançait de plus en plus dans la forêt. Il n'avait pas encore armé son arc et laissa le temps à la biche de s'arrêter. Elle s'arrêta à une cascade qui débouchait sur un lac translucide. Il y avait beaucoup d'animaux autour de ce lac, ainsi que des poissons qu'on voyait nettement à travers l'eau et la biche en faisait partie. Il s'approcha jusqu'à l'abris donné pas des buissons derrière la biche et commença à tendre sa flèche.

Le souffle court, les yeux fixés sur sa cible. Il ne tira pas tout de suite. Attendant le moment où la biche exposerait sa tête. Il attendit donc que la biche se soit rassasiée et il la vit lever la tête. Elle semblait écouter quelque chose. Lorsque Terraclès expira une dernière fois avant de tirer, il vit quelque chose à coté de la biche, ce qui faussa son tire.
*Que...*
La flèche rasa de près la tête de la biche et se perdit dans les profondeurs du lac. La biche partit et laissa place à l'image d'une jeune femme à l'air étonné. Terraclès sortit d'où il était pour aller s'excuser auprès de la personne.

"Je sis désolé de vous avoir fait peur. Vous n'avez rien?"

Amayelle attendait, impatiente de revoir Sana, sa chère biche. Quand celle-ci arriva, elle courut à sa rencontre et commença à lui brossé les poils d'un côte de son ventre. Quand soudain une flèche rasa la tête de Sana. Celle-ci s'enfuit dans les bois.
*Qui as tirer une flèche sur Sana !*

"Je suis désoler de vous avoir fait peur. Vous n'avez rien ?"

Amayelle sursauta, d'où venait cette voix ? Ses instincts de nymphe lui fie tourner la tête vers le bout du lac où un jeune homme armé d'un arc la regarder assez étonné. Mais la plus étonnée était sans aucun doute la jeune nymphe.
*Un humain ose s'attaquer à ma biche ?!*
Amayelle secoua la tête de gauche à droite pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas était blessée, puis elle commença à s'éloigner doucement à reculons de peur que l'humain l'approche ou lui tire une flèche.

Terraclès fut soulagé lorsque la personne en face de lui lui confirma qu'elle n'avait pas été blessé mais il fut surpris qu'elle recule avec un léger sentiment de peur dans les yeux. Pour montrer qu'il n'y avait rien a craindre, Terraclès mit ses armes à terre et leva les mains pour montrer qu'il ne ferait rien mais resta à une bonne distance de pas, de peur d'effrayer la personne en face de lui. Il ne put tout d'abord s'empêcher de grogner entre ces dans le fat que son repas était parti mais s'il l'avait eue, il aurait causer un grand chagrin à la jeune femme en face de lui. De plus prêt, Terra' pouvait voir les cheveux roux, recouvrant son visage fin ainsi que ça petite taille. C'est vrai que contre quelqu'un d'entraîné comme Terra' la jeune femme n'aurait aucune chance.

"Je suis désolé d'avoir tiré... sur ce qu'il semble être votre animal mais c'est juste qu'étant chasseur, je n'ai fait que mon métier."

Il surveilla ses armes du coin de l'oeil, ne voulant pas les perdre. Puis il fit un pas en avant histoire de voir si la jeune femme partirait en courant ou resterait. Il ne savait pas quoi faire et resta donc immobile, levant toujours les mains.

Amayelle regarda attentivement Terraclès déposer ses armes au sol, quel genre de chasseur était-il pour faire cela ? Ce disant qu'il le fesait surement pour pas qu'elle n'ait peur, elle se décida à faire un pas quand elle le vit approcher lui aussi. Elle arrêta imédiatement son geste et constata que le chasseur rester lui aussi immobile.
*Allez Amayelle ! Quelques minutes de courage !*
Se répétant ses paroles et fit encore quelques petits pas, qui la rapprocher de plus en plus de l'inconnu. Puis elle constata qu'elle était arriver au bord du lac. L'archer était seulement à quelques mètres d'elle, sur l'autre rive. Ne sachant que faire, Amayelle se baissa et but un peut d'eau tout en continuant de surveiller l'inconnu.

Terraclès resta immobile lorsque la jeune femme s'approcha mais quelques choses les séparait. Le lac. Ils n'étaient maintenant qu'à quelques mètres mais il ne pouvait pas traverser. Il regarda ses armes une dernière fois et ce dit qu'on ne lui volera pas. Il commença à contourner le lac, lentement. Pas la peine d'effrayer encore plus la jeune femme en lui courant après. Il s'arrêta à environ deux mètres d'elle.

"Je suis encore désolé d'avoir fait fuir votre biche, si j'avais su je n'aurais pas tiré en risquant de vous blesser. Si ça ne vous dérange pas, pourrais-je savoir votre nom? "

Il regarda autour d'eux, la plupart des bêtes présentent avant qu'il ne se montre avaient fuit. L'ambiance était quand même bizarre puisque, depuis tout à l'heure, il n'y avait que lui qui parlait. Et peut-être que demander son nom comme si de rien n'était, était un peu brusque.

"Si vous ne voulez pas me le dire tout de suite, sachez que mon nom est Terraclès"

Amayelle était étonné : on ne demander pas son nom à une personne quand on l'a voit à peine deux minutes !
Mais, ce n'était pas ainsi que commençais toutes les plus belle amitié du monde ?

"Si vous ne voulez pas me le dire tout de suite, sachez que mon nom est Terraclès"

Quand il prononça ses paroles, Amayelle se releva doucement pour le fixer, elle ne le savait pas, mais elle rougissait énormément !

"Amayelle"

dit-elle simplement, puis elle répéta

"Je m'appelle Amayelle"

Une fois ses mots prononcer, elle recommença à respirer normalement car le courage qu'elle avait donner pour se "présenter" était très rare chez elle !

Il ne savait pas si c'était à cause de la lumière du soleil ou les reflets de l'eau, mais Terraclès vit les joues de la dénommée Amayelle devenir rouge. Peut-être que sa question était trop maladroite ou alors gênante. Il hocha la tête en compréhension au fait qu'elle lui avait répondu une deuxième fois. Mais maintenant qu'allait-il faire? Il s'était excuser, il n'avait plus rien d'autre à dire. Mais quelque chose ne le fit pas partir. Il ne pouvait pas. On aurait dit qu'il était face à un animal gracieux qu'il se devait de calmer et "d'apprivoiser", si les mots étaient bien ceux là. Il refit un autre pas vers elle mais resta calme et le visage paisible comme pour dire qu'il ne lui ferait aucun mal.

[hrp: désolé j'ai rien trouvé d'autre]