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La bête est enfin libre ! Prenez peur mortels

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Astérion

Astérion

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MessageSujet: La bête est enfin libre ! Prenez peur mortels La bête est enfin libre ! Prenez peur mortels Icon_minitime1Ven 23 Déc 2016 - 11:31


  Astérion


I- Carte d'identité
 
La bête est enfin libre ! Prenez peur mortels Minota10

Type, sous-type :Minotaure
Nom:Astérion
Surnom:Taureau de Minos
Cité d'origine:Cité de Knossos
Dieux vénérés:Poséidon
Pouvoirs et/ou attributs atypiques ou magiques :Force et capacités du taureau, Nyctalopie.
Particularités:  Tête, jambes et queue de taureau, buste d'homme.






II- Vous, votre vie, votre oeuvre.


HISTOIRE

Comment réagiriez-vous, si votre naissance n’était que le résultat d’une malédiction ? Que vous êtes issus d’une union contre nature ? Imaginez donc, ce que l’on peut ressentir.

Au début, je ne me rendais pas compte. Évidemment, n’étant qu’un bébé, on ne faisait pas trop attention au monde qui nous entourait. Tant qu’on avait à manger et un minimum d’affection, on ne demandait plus grand-chose. Mais les choses changent quand on grandit. Ma mère était une reine. Elle se nommait Pasiphaé. Belle, grande, impressionnante, on la craignait autant pour son titre que pour sa réputation d’être une grande magicienne. Je n’avais pas beaucoup de souvenirs d’elle, mais elle s’occupait de moi. Elle me nourrissait, me laver et s’occupait elle-même de mon éducation. D’ailleurs, personne d’autre ne voulait s’approcher de moi, hormis celle qui m’avait mis au monde. Je restais donc très seul, enfermé dans un immense palais.

Il y avait aussi cet homme, le roi. Il se nommait Minos. C’était l’époux de ma mère. Quand je lui demandais, « C’est lui mon père ? », elle me répondait « Non. » D’ailleurs, cela m’arrangeait. Minos ne m’aimait pas. À chaque fois qu’il me voyait, il se mettait en colère et il me traitait de monstre, de sale bâtard. Il me haïssait à tel point qu’il ordonna que je restasse enfermer dans son palais le restant de ma vie. Ainsi, je tournais en rond dans cet endroit. Mère m’apprit plein de choses. Elle m’apprit à parler à lire et écrire. Parler, j’y arrivais, mais lire et écrire… Cela m’était impossible. Alors elle m’apprit d’autres choses intéressantes, comme la musique. J’étais doué au tambour et j’aimais m’agiter sur ceux que je produisais. Mais Minos ne faisait que me rabaisser, disant que je n’étais qu’un stupide animal. À chaque fois, cela conduisait à une dispute entre eux. Minos traita ma mère de « dévergonder », elle, elle l’accusait de menteur et de blasphémateur. Que tous nos ennuis venaient de lui.

Il y avait une autre personne qui venait souvent me voir. Ariane. Elle était curieuse et me regardait avec une certaine admiration. Elle me posait pleins de questions étranges dont je ne savais comment y répondre. Pasiphaé m’expliqua qu’elle était en réalité ma sœur, que nous avions le même sang. Je me suis alors toujours senti proche d’elle. Elle était comme une amie très gentille. Une des rares qui veuilles m’approcher. Tous les autres tournèrent la tête en me voyant, où s’éloignèrent, limite en courant. Je ne savais pas pourquoi une telle peur vis-à-vis de moi. Je n’arrêtais pas de questionner mère à ce propos, mais à chaque fois, elle refusait de répondre. Jusqu’au jour où je tombais sur un miroir. Il n’y en avait pas dans mes appartements. C’est alors que je vis que j’étais bien plus différent des autres que je le croyais. Au fond, je l’avais sans doute toujours su, mais je devais le rejeter.

Mère me fit découvrir une nouvelle passion, les fruits. J’aimais manger des fruits, surtout les pommes. Je ne pourrais manger que cela. D’ailleurs, ma mère organisa des repas composés uniquement de fruits pour moi. Malgré ma différence et mon isolement, j’arrivais à trouver un certain bonheur. Mais cela ne dura pas. Alors que les années passaient, je devenais de plus en plus grand et fort. Mon caractère changea, je devenais de plus en plus susceptible. Alors, quand quelqu’un venait me provoquer, je devenais rouge de colère et je m’attaquais à lui. Il eut déjà deux ou trois morts comme ça, mais on fit taire l’histoire. Jusqu’au jour où, quand Minos s’en était pris à sa femme, à nouveau, j’étais intervenu. De rage, je piétinais les gardes qui tentaient de s’interposer. Le roi me fit enfermer dans les cachots du palais, solidement enchaîner. Je passais d’une prison à une autre, mais plus infâme qu’avant. J’avais moins la possibilité de bouger, et la nourriture servit n’était que des restes.

Mère continuait de venir me voir. Elle cherchait à me réconforter par des chants ou de la nourriture. Cela me faisait beaucoup de bien. Mais un jour, elle ne revenait plus. Le temps passait, elle n’était plus là. Pris de tristesse, je passais mon temps à beugler, à pleurer même, me lamentant sur cette triste condition. Ariane venait aussi. Elle prenait de mes nouvelles et me passa un peu de nourriture aussi discrètement. Elle ne me disait pas ce qui était advenu de mère. Je me demandais combien de temps, j’allais encore passer ici.

Un jour, un immense groupe d’homme armé vinrent me trouver. Avec les chaînes, ils me traînèrent de force hors de ma cellule. Je résistais, je fis tomber plusieurs d’entre eux, écrasant le crâne de ceux qui se trouvaient à terre, près de mes sabots. Ils me menèrent au plus profond du palais, jusqu’à devant une immense porte en fer. C’était impressionnant. Il y avait davantage de gardes présents qui vinrent en aide aux premiers. Ils me poussèrent de l’autre côté de l’immense porte qui se referma immédiatement derrière moi. Mais où étais-je ? Je me mis à explorer les lieux. Il n’y avait que des couloirs et des salles presque vides, rien d’intéressant. J’essayais de trouver une autre sortie, mais il semblait ne pas y en avoir. Et quand je voulais revenir sur mes pas, je n’arrivais jamais à retrouver mon chemin. J’étais perdu dans ce qui devint ma nouvelle maison.

Je passais mes journées à tourner en rond, à explorer ce lieu sombre et sinistre, sans jamais retrouver mon chemin. Pour passer le temps, je chantais les chansons que mère m’avait appris. Ce n’était pas grand-chose. Par contre, il y avait quelque chose de bien. Ariane venait parfois me voir. Elle s’approchait d’une des grilles au plafond et on discutait. Elle me parla de ma nouvelle prison, de la malédiction aussi. A cela, je sombrais de plus en plus dans la tristesse et la colère. Ariane me laissait encore quelques fruits pour m’aider. Un jour, j’entendis du bruit. Allant voir, je tombais sur des humains qui venaient d’entrer dans le labyrinthe. Voulant leur demander de l’aide pour sortir, ces dernières prirent peur. Soit ils en mourraient, soit ils se suicidaient. Tout cela, en me voyant. J’étais de plus en plus en colère. Par la suite, Ariane vint de moins en moins me voir et je commençais à devenir fou et à mourir de faim. Sentant cette dernière me saisir, je finissais par céder à mes plus bas instincts, en mangeant les visiteurs morts. C’était soit ça, soit mourir, et l’instinct de survie venait de le remporter. Prenant goût à la chair humaine, je fus bien heureux d’en retrouver d’autres à chaque fois, tous les… Je n’en savais rien. Et cela devenait presque un jeu, où c’était eux ou moi. Je devais les traquer et les manger pour survivre. J’étais devenu le monstre que désirait Minos !

Cela dura sans doute des années et des années. Chaque jour était le même que celui qui était passé. J’en perdais l’humanité que m’avait donnée mère. Seul le chant et le tambour (je tapais sur de la pierre) m’aidaient à ne pas la perdre totalement. Cela dura jusqu’au jour, où endormis, quelqu’un m’attaqua en traître. Je fus brutalement réveillé et des échanges de coups ures lieu entre lui et moi. Il était armé en plus, une épée. Le mortel me frappa violemment au sol. L’impact fut si fort que je m’écroulais au sol. Il voulut finir le travail en frappant au cou. Heureux de son triomphe, il repartit. Pauvre idiot, un cou de taureau est épais. Cela ressemblait juste à une égratignure pour moi. Et la blessure au ventre n’était que superficiel. Me relevant, j’essayais de le retrouver. Il avait laissé derrière lui un fil doré. Le suivant, j’arrivais devant les grandes portes de fer, ouvertes !

Enfin je parvenais à retrouver la liberté après une éternité dans cette prison ! Le royaume était en pleine agitation, quelque chose de grave venait de se produire. Tant mieux ! Je pourrais ainsi me venger de tout le monde ! Ils vont regretter leur cruauté. La bête était enfin libre ! Prenez peur mortels !



PERSONNALITÉ

On peut facilement croire Astérion bête, qu’il n’a pas plus d’esprit qu’un taureau, à cause de sa tête. Pourtant, ce n’est pas du tout le cas. Comme on le dit souvent, il ne faut pas se fier aux apparences. Astérion est quelqu’un qui peut résonner. Il ne pourra pas réfléchir comme un mathématicien, ni philosophé, mais il sait se montrer malin. Quand il chassait dans son labyrinthe, il apprenait à pister et piégé ses proies. Il peut sentir sa victime de loin et chercher un passage jusqu’à elle, de façon rapide et par surprise. Il fait souvent attention où il met les sabots, pour ne pas tomber dans un piège.

Astérion est aussi quelqu’un ayant le sang chaud. Il peut s’emporter facilement et vouloir tout saccager. Il est d’une très grande sensibilité, il gère mal ses émotions, comme quand il a le sang chaud, il rentre dans une très grande rage, ou quand il est triste, il râle ou pleure fortement, ou durant sa joie, il peut se mettre à danser étrangement. Il ne maitrise pas toujours sa force et peur faire des dégâts sans le vouloir.

Notre ami Minotaure est de nature très méfiante. En réalité, il considère tout le monde comme mauvais, des ennemis qui ne veulent que sa perte à cause de sa différence physique. Pour lui, la compassion n’est qu’un piège. Ceux qui l’expriment trahiront rapidement. C’est pour cela qu’il est un grand solitaire, presque agoraphobe. Il peut pourtant éprouver de l’attachement, mais quand cela arrive, il la remplace par de la colère, refusant de devoir supporter encore ces sentiments si doux.



PHYSIQUE

Astérion est comme le dit la légende : mi-homme mi-taureau. Il a la tête et les jambes du taureau et le buste d’un homme. Il mesure près de deux mètres, son corps est entièrement recouvert d’une épaisse fourrure grise. Sa musculature est très imposante, une montagne de muscle, on peut le dire. Il a de longues cornes blanches qui peuvent tout emporter si le minotaure charge. Il a une sorte de grosse bosse à l’arrière de la tête qui donne un peu l’air d’un dromadaire. C’est en réalité son dos, qui est entre l’humain et l’animal, ce qui accentue d’avantage son physique bestiale. Ses yeux sont d’un rouge foncé et lui permettent de mieux voir dans le noir qu’un simple humain. Son regard, justement, lui donne souvent un air effrayant, menaçant. Ses naseaux son de couleur rose et ses sabots de couleur noirs. Ils possèdent des dents de ruminant, de grosses dents carrées avec des pointus vers l’arrière de la mâchoire, ce qui lui permettent un régime omnivore. Ses imposantes mains se terminent par des ongles assez longs, pouvant servir de griffes.




III- Hep, vous là bas, avec le clavier ! Papiers.


(Bienvenue ♫ ! Tout est facultatif, bien sûr.)
Petit nom: Iskaras
Pourquoi avez vous choisi ce personnage ? Monstre préférer Coeur
Comment avez vous découvert le forum ? Grâce à Andrea
Avez-vous lu le règlement ?Y'a du cuir dans ma voiture, l'odeur de mon parfum me rassure. Chez moi tout est neuf tout est beau, le monde pleure derrière mes rideaux (j'men fous). Moi je voulais une moustache ! D:
Un commentaire sur le forum ?Super le thème pour Nonoël MDR

N'oubliez pas d'entrer le lien de votre fiche dans votre profil sans plus attendre !!!

Fiche codée par Umi sur Epicode.
 
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La bête est enfin libre ! Prenez peur mortels

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