Nom: Sisyphe Surnom: On me donne beaucoup de surnoms, mais je ne sais pas si je dois les donner ici, étant donné qu’ils ne son pas vraiment flatteurs. Race: Mortel Âge: Mort et descendu aux Enfers vers l'âge de 37 ou 38 ans. Je ne sais plus, trop. De toute façon, j'ai horreur de parler de mon âge. Attributs:  Pousseur de rocher insupportable et inutile. Symboles: // Pouvoirs: Euh... Pour quoi faire? Je ne suis pas assez fabuleux comme ça? Dieux et déesses vénérés: Les dieux? Quelle horreur... Enfin, à l'époque, ma glorieuse Corinthe était connue pour son temple d'Aphrodite (parce qu'elle, au moins, elle avait le mérite d'être jolie et avait une forte valeur esthétique qui s'accordait bien avec le reste de l'architecture de ma citée magnifique). Mais comprenez que une fois mort... Les dieux on s'en fiche un peu, surtout quand on risque plus grand chose comme moi. Habitat: Le Tartare, plus précisèment le Cocyte. Quoi que vous en dise Hadès et ses copains, bah, je mérite mieux, quand même. Particularités: Je suis doté d'une intelligence rare et diabolique. Certains disaient que j'étais le plus malin des mortels. Avouez qu'ils savaient me flatter. Ah, et je suis un peu fou à lier, aussi.

 

HISTOIRE

Que le temps était bon quand j'étais tout puissant! Seul souverain de la divine Corinthe. Enfin, non, pas tout à fait tout seul, mais vous savez, hein, les femmes de roi, leur rôle est discutable. Quoi? Me regardez pas comme ça, vous savez très bien ce que j’insinue. La descendance voyons, il faut bien l'assurer... Même si à l'époque j'étais persuadé que j'en aurais pas besoin. Je pensais pas que je mourrais. Pardon, mes petits Glaucos, Orhythion, Thersandre et Almos, c'est vrai que papounet n'a pas vraiment eu le temps de voir vous potentiels respectifs comme il ne se regardait que le nombril. Mais il n’a aucun regret, et il est très beau mon nombril. Enfin, je me contenterais de vous raconter ces plus belles années, pour vous montrer à quel point les dieux ont eu tord de mettre fin à une existence si fabuleuse que la mienne... Vraiment, je méritais mieux!

Tous mes semblables auraient été bien embêtés sans mes légendaires inventions. Oh, rien d'incroyable, j'ai juste trouvés quelques trucs pour rendre les navires plus jolis et plus rapides, plus puissants pour faire s'en aller guerroyer... Je sculptais aussi de grandioses figures de proue pour une prime de quelques milliers le mètre carré, enfin, rien d'incroyable, vraiment. Le commerce allait bon train, grâce à moi. Mes sujets m'aimaient, enfin, aimaient me détester. Pourquoi donc? Je ne sais pas ce que je leur ait fait! Je faisais peur, à ce qu'il paraît... Je blasphémais, ça plaisait pas car du coup, tout le monde se disait "oh mon dieu, notre Roi va attirer le malheur sur notre cité bien aimée, prions Aphrodite et barrons-nous!". Mais non, personne ne quitte Corinthe comme ça, nom de... de rien, je ne jure pas par ces vieux qui passent leur temps à prendre leur pied en haut de leur montagne! Ils m'ont toujours agacé et je crois que je les agaçais aussi. Je crois que je me faisais trop remarquer. Mais c'est le grand problème de ma vie... Je suis un incompris. Et, non, je ne vais pas vous pleurer une rivière, c'est pas mon genre, je ne suis pas comme le vieux Oedipe qui pleure sur sa miséricorde, moi. Par incompris, je veux dire "lucide". Oui, je suis lucide que les dieux se jouent en permanence de nous, et qu'ils adorent nous voir nous taper dessus pour mieux nous enfoncer ensuite, et se faire du bénef sur notre dos à nous, pauvre mortel. Enfin, ça tout le monde le sait. Mais on l'admet pas, car c'est blasphémer il paraît. Mais, donc, avec toutes ces digressions je m'éloigne quelque peu de mon récit initial... Donc oui, grâce à moi Corinthe était belle, Corinthe était puissance, Corinthe était crainte de tous. Ceux qui voulaient en sortir n'en sortaient pas vivants, ceux qui voulaient y entrer n'y entraient pas vivants, sauf si ils demandaient gentiment et m'offraient des très grosses sommes d'argent et de ressources en échange de leur vie ; et si ils n'avaient pas assez, bah, ils devaient choisir quelques hommes dans leur équipage pour rembourser par le sang ce qu’il manquait. Bref, c'est comme ça que notre monde tourne, que voulez-vous!

Enfin, vous m'avez plutôt bien cerné, maintenant, je crois. Aux yeux des dieux, j'étais déjà un criminel... Comment ça s'appelle, déjà? L'hubris? Ah, oui la démesure, c'est le nom du crime qu'on nous attribue quand on essaie de vivre juste un peu au dessus de sa qualité de mortel, et qu'on a l'impertinence de dénoncer ce qui est au dessus de nous... Bon, d'accord, j'en ai fait, des bêtises, hein. J'ai aussi trompé ma bien aimée Mérope plusieurs fois, mais franchement, à côté d'autres -si vous voyez qui je peux viser... dieu, éclairs... ça vous dit rien? Bon, bah, tant pis-, eh bien je ne suis pas SI volage! Faut vivre avec son temps, que voulez-vous. Bref, oui, à part, ça, je crois que ce qui a commencé à me coûter, c'est d'avoir dénoncé que notre bon vieux Zeus courrait après la fille du fleuve Asopos (faut dire qu'il m'avait un peu promis une source intarissable d'eau juste en bas de mon palais, en dessous de la fenêtre de ma chambre, si je lui dévoilais la vérité, et j'allais pas cracher dessus, comprenez-moi). Mais, bien sûr, ça n'a pas plu, et ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le fleuve. Huhu. Oh, ça va, elle était drôle. Enfin, donc, Zeus n'était pas content, il m'a envoyé monsieur la mort  -Thanatos-  pour m'acheminer vers les enfers. Mais pas tout de suite. J'ai accueilli Thatha' à bras ouverts, et je lui ait servi un verre. Puis deux, puis trois, puis quatre puis... bref, il était rond comme une queue de pelle après ça. Et comme il me vantait les effets faaaabuleux de ses chaines forgées par Hephaïstos, et que je ne crois pas à des bêtises comme quoi elles sont indestructibles et qu'on ne peux les détacher une fois mises, eh bien, j'ai exigé qu'ils les essaye avant de m'emmener. Hé, avouez que c'était bien joué, et ça fait de moi le mortel qui déjoua la mort. C'est vraiment classe. Rien que d'y repenser j'ai envie de me lancer des fleurs. Mais, ça non plus, c'est pas bien passé. Quand tout le monde fut au courant, je n'ai pas vraiment pu en réchapper. Ils se sont mis à je sais pas combien sur moi, et je vous rappelle que je ne suis qu'un pauvre mortel.

Et voila. Après un vivant fabuleux, voila ou j'en suis. Même ma disgrâce est fabuleuse. Et légendaire. Bon, personne n'envie ma punition, et je comprends très bien car, bigre, ce que c'est ennuyeux de pousser un rocher. Et c'est difficile comme tout, et complètement crevant... Enfin, quand même, mon rocher est génial, il m’écoute parler lui, et ne bronche jamais, il accepte tout de moi, me comprend. C'est mon meilleur ami. Je l'ai appelé « Boully ». Oui, je sais, c'est un peu navrant. Mais c’est le point ou j’en suis. Je déteste le Tartare et mon nouveau travail quand je ne peux pas m’amuser. J’aime pas Hadès car je ne peux pas l’embêter comme je veux. Je veux vraiment sortir d’ici, et même si il paraît que le travail ça rend heureux… Eh bien, pas celui-là. Mais, bon, le cadran indique la fin de la pause, je vais devoir y retourner, pousser ce rocher, le regarder tomber, pousser, regarder tomber, pousser… J'adore ma vie. J'adore ma vie...

 

 

PERSONNALITE

Sisyphe est bavard... Atrocement bavard, insupportable et imbu de lui-même. On a pu comprendre qu'il s'aime beaucoup, et il porte beaucoup d'amour a chacun de ses faits et gestes. Et cela, que ses actions soient bonnes ou mauvaises, ce n'est pas son problème, et il laissera les autres en décider à sa place. Il aime tant s'entendre parler qu'il serait capable de dire longuement les louages d'une musaraigne, a condition que ce soit lui qui l'ait découverte.

Sisyphe est arrogant, sans gêne. Même mort, il se croit encore tout permis. Il n'y a rien d'étonnant au fait que les principales réactions qu'entraine son comportement soient l'agacement ou la lassitude. Mais il se fiche bien de ce que pensent les autres, et se contente nécessairement de sa propre présence pour s'inventer des histoires et compenser sa solitude. Il est très suffisamment fou à lier et imaginatif pour cela. Il est bien conscient que ses comportements ne le rendront jamais vraiment sympathique et qu'il a une sérieuse arachnée perchée là-haut. Pourtant, il sent tout de même le besoin de devoir s'allier aux autres humains, envers lesquels il nourrit une grande curiosité. Il ne l'assume pas bien, et donc, il préfère être odieux et faire l'imbécile.

Se retrouver puni par les dieux pour son hubris, puis être forcé à pousser un rocher ne l'a pas vraiment changé, étant donné qu'il est persuadé qu'il pourra s'en sortir un jour. Encore. En ce sens, Sisyphe est doté d'un optimisme à toute épreuve, au point d'en faire toujours trop. C'est une autre façon de dire qu'il se ment à lui-même. Il ne se rend pas bien compte de son sort, quelque part. C'est son côté gamin insouciant.

De son vivant, Sisyphe était connu pour son intelligence, mais aussi son avarice et son talent pour le mensonge. Fin négociateur, il ne se gênait pourtant pas pour abuser de tout ce dont il pouvait abuser : argent, richesse, plaisirs, de la vie et d'autrui en général. Menteur et un peu cleptomane sur les bords (et, oui, il a déjà confessé avoir volé les réserves de bouffe de son voisin Tantale ; mais de toute façon, lui, il en a pas besoin, hein?), il peut devenir totalement immature quand il n'arrive pas à obtenir ce qu'il veut. Parlant d'immaturité et de ridicule, Sisyphe est doté d'un humour pourri assez précieux dans son genre, qui ne fait généralement rire que lui.

Il reste dans le fond assez simple dans ses relations avec ses semblables et autre créatures tant qu'elles sont garanties non-divines. Sympathique au premiers abords avec sa familiarité et son beau parlé, il ne pourra toutefois pas se retenir de vous faire mener une vie très pénible et de vous ennuyer dès qu'il le pourra si vous le laissez trop s'approcher. Si c'est pour ne pas se faire oublier et agacer quelqu'un, Sisyphe peut se montrer très patient, voire collant. Paradoxalement, il est également capable de très vite oublier son prochain. Trop centré sur lui-même, il est assez détaché et manque d'empathie en ce qui concerne le sort d'autrui.

Concernant ses gouts (en dehors d'aimer ennuyer tout le monde et de s'aimer lui-même), Sisyphe s'est toujours passionné pour les sciences et pour les mécanismes. D'ailleurs, quand il en a le temps, il aime beaucoup bricoler des trucs plus ou moins utiles avec ce qu'il trouve. Il est très inventif (c'est d'ailleurs ce qui l'a rendu célèbre, pour le meilleur et pour le pire), et fut à l'origine de quelques innovations navales et architecturales du temps de son vivant ; il aime améliorer les objets en les bricolant, c'est même une manie. Dans ces moments là, il en oublierait même d'embêter son prochain tant il sera concentré sur sa réflexion. La procédure qui mêne à un résultat l’intéresse généralement plus que le résultat en lui-même. Il aime comprendre le fonctionnement des chose et aussi le fonctionnement des êtres. Sisyphe était un bon vivant du temps de son existence "à la surface", du genre gourmand morfale. Dès qu'un plat d'olives passait sous ses yeux, il avait peu de chance d'en réchapper. Pour l’apprivoiser, apportez-lui donc des bonnes choses à boire ou à manger. Si monsieur est de bonne humeur, ça marche à tous les coups.

Il ne déteste pas grand chose, si ce n'est l'autorité. Sisyphe n'aime pas qu'on lui donne des ordres ou des directives quelconques, mais ou i lest désormais, il lui faut parfois courber l'échine à contre-coeur. Mais il déteste plus encore se sentir vieillir. Ce n'est pas par bêtise qu'il oublie son âge (d'ailleurs, vous pouvez toujours courir pour qu'il vous dévoile cette information), mais surtout car il ne peut pas supporter de se sentir progresser vers sa propre fin. Il ne compte plus le nombre de charlatans et les pots de vin qu'il a versé à des druides ou autres prêtes pour obtenir des potions ou liqueurs censés lui faire garder une apparence juvénile. Tout ça, c'est un secret qu'il n'avouera jamais. Si ça a marché? Il l'ignore lui-même, à vrai dire. De toute façon, désormais, la questionne se pose plus, car le fait d'être officiellement mort et en Enfer ne font plus progresser son âge apparent. Au moins une bonne chose à accorder à ces lieux qu'il abhorre.

Aussi, il a une phobie assez honteuse et inguérissable de tout ce qui ressemble de près ou de loin a un calamar, tout ce qui possède des tentacules l'horrifie. Ne cherchez pas, ça lui file de l’urticaire rien que d'en parler. Parlant de peur, sa plus grande est la fin de son existence. La mort, il a déjà donné, mais cesser de vivre pour de vrai, ça, il ne veut même pas en entendre parler.

 

 

PHYSIQUE

Au vu du manque d’objectivité du principal intéressé concernant  son physique, cette partie sera exceptionnellement écrite d’un point de vue extérieur et non-subjectif. Parce que sinon, ça va juste se résumer à « je suis très très beau », et avouez que c’est un peu vague.


Que dire alors sur le physique d’un homme comme Sisyphe qui s’aime déjà énormément? Eh bien tout d’abord, qu’il n’est à la base pas véritablement un homme d’action. En ce sens, il préfère se tourner les pouces en regardant les autres se battre entre eux (en glissant quelques commentaires sarcastiques et envoyer quelques machines de guerre faire parfois le ménage) que prendre lui-même part à la guerre. De ce fait, il n’a jamais vraiment eu une carrure imposante de son vivant (bien que maintenant, il soit toujours très fier de pouvoir dire qu'il a pris un petit milligramme de muscle). Grand, il l’est, mais pas spécialement épais ou large. Imaginez donc un peu la tête que monsieur à du faire quand on lui a dit de pousser un rocher plus grand que lui tout en haut d’une montagne. Oui, au début, même si il était très content que tout le monde puisse admirer son corps ainsi, la chose fut peu aisée. Aucun problème, aucun problème, disait-il… Mais ses muscles s’insurgeaient dans d’autres termes forts vulgaire, eux. La première montée de rocher fut difficile, très difficile. Et encore une fois, la taille de ses yeux quand il vit Boully retomber vers le bas était tout aussi magique. Tout comme le regard d’enfant contrarié qu’il lança à la demeure d’Hadès visible depuis le haut de sa montagne. Bref, vous l’aurez compris, Sisyphe est quelqu’un de plutôt expressif. Il n’exerce pas un contrôle rigide sur ses émotions, sauf, bien entendu, quand ces dernières se risquent à devenir trop personnelles. Dans ces cas-là, tout ce que vous verrez eh bien…. C’est un sourire tout aussi agaçant qu’effrayant. Sourire de façon fort dérangeante, c’est le grand jeu de Sisyphe. Personne n’a envie de savoir ce qui se cache derrière ses rictus étranges, et c’est bien normal, car en général, c’est complètement tordu.

Le reste du temps, il ressemble plus à un gamin qui a du mal à contrôler ses gestes et sa force. D’ailleurs, d’un enfant, il en a le regard. Un regard bleu-vert enfantin qui pourrait presque être agréable à regarder si il n’était pas porté par un tel tordu. Sinon, vous voyez, le type qui fiche des baffes à quelqu’un qui passe dans son dos en voulant s’étirer? Bah, voila, vous avez Sisyphe. Et c’est à peine si il s’excusera, en plus. Il se fichera plutôt de la personne très ouvertement… Et comme vous allez aimer détester son rire insupportable et préférer le bâillonner! Au pire, il se taira, recoiffera d’un geste de mains qu’il qualifiera de « fabuleux » ses cheveux et ira voir ailleurs si il y est. Ah, oui, les cheveux, on n’en a pas encore parlé. Que Sisyphe adore ses cheveux! C’est presque une religion chez  lui (oui, parce que tant qu’à vénérer aucun dieu réel, autant aduler sa propre chevelure, logique). Il a hurlé tellement fort quand on lui a proposé de les couper que le coiffeur des Enfers a décidé de passer l’éponge. C’est d’ailleurs assez hallucinant de voir le soin que Sisyphe apporte toujours à ses longs cheveux argentés tout en étant un supplicié forcé de rester au Cocyte le restant de son existence. A ça il répliquera que c’est pas parce qu’on a plus d’avenir qu’on ne peut plus avoir un minimum de classe (si il a eu la classe un jour, toutefois…)!

  (Bienvenue ♫ ! Tout est facultatif, bien sûr.)
  Petit nom: Cobabz’ sur la toile, en vrai, Jeanne. Bonzouuur ° 3°
  Pourquoi avez vous choisi ce personnage ? Parce que Sisyphe. Dois-je en dire d'avantage? Euhmmm... bah, je l'aime? J’ai hésité longuement entre lui et Salmonée (de manière générale, j’aime beaucoup les persos mortels de la mythologie punis par les dieux, vive l’imagination de l’antiquité pour être aussi tordus), j’adore les personnages mégalos de la mythologie en général. Puis, Sisyphe il est rigolo, c’est un peu un troll dans son genre, donc voila ° 3° Puis j’attendais le jour ou j’allais pouvoir le jouer en RP, ou du moins, tel que je l’imagine. Living the dream o/
  Comment avez vous découvert le forum ? En gambadant sur un Topsite, je ne sais plus lequel.
  Avez-vous lu le règlement ? Oui mais je trouve que ça manquait un peu de créativité, fichtre.
  Un commentaire sur le forum ? Nooope ça a l'air sympa comme tout ^w^

Sinon, je dois encore trouver avatar (duh).
J'aurais certainement des questions a poser en rapport avec l'âge des persos qui se sont retrouvés aux enfers (si ils continuent à vieillir, des choses comme ça kwa)... Aussi, eh bien, comme l'histoire de Sisyphe croise un peu celle de Thanatos, il faudra certainement que j'en parle avec le/la joueur-se xD (parce que bon, la légende est bien jolie, mais ptet que la version de Thanatos du forum aurait pas laissé passer ça =p) Des arrangements sont très possible, il ne faut pas hésiter à me le dire!