Je comprends que mourir ne vous intéresse pas trop. Disons que les enfers constituent une destination de vacances discutable, et que ne pas pouvoir en sortir rend la perspective dissuasive.
Certes.
Mais rassurez vous ! Parce que, vous l'aurez deviné, aucune mort n'est irréversible.

Les dieux, déesses, muses et titans
Ne meurent pas. C'est l'avantage de se gaver d'Ambroisie. Jackpot.
Les privilèges, ma bonne dame, les privilèges.

Les demi-dieux
Sont mortels, sauf indication contraire de Zeus. Il arrive qu'on accorde une promotion à certains d'entre eux, mais la plupart gagnent simplement le droit d'habiter les Champs Élysées sans être si valeureux que ça.

Les humains, nymphes et autres mortels
Ne peuvent mourir qu'avec votre consentement. Dorénavant, vous rperez donc dans l'en-dessous, le fabuleux Hadès. Quant à sortir, plusieurs solutions existent. Toutes deux impliquent une quête, qui vous rapportera quelques espèces sonnantes et trébuchantes.
Le concept est simple : vous devrez expliquer votre cas aux autorités compétentes (Zeus, Hadès, ou autre, selon que vous réquisitionnez un admin ou que vous écriviez seul, voir partie quêtes)

Et alors, deux solutions scénaristiques s'offrent à vous (à discuter avec un admin dans une optique de cohérence) :

- Si vous êtes fraîchement mort, ou si les circonstances le permettent, vous revenez, tout simplement. Pif paf pouf, comme ce bon vieux Achille dans un futur lointain.

- Si une résurrection flagrante aurait tendance à causer trop de problèmes, ou que vous n'en voulez pas, vous reviendrez aussi. Par contre, vous resterez très discret ; pas question de raconter quoi que ce soit à qui que ce soit. Au besoin, on pourra même vous coller une nouvelle tête, vous créer de toutes pièces une nouvelle vie, enfin tout est possible grâce à la magie des autorités divines.


L'unique modalité sera donc une petite quête où vous défendrez valeureusement votre bifteck. (On vous encourage.)

Et pour ceux qui préfèrent la vie... eh bien, hum. Tant pis, que voulez-vous. Je m'en remettrais.

...

On vous attend avec impatience !

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