Edit Orphée, Athènes, le centre ville

J'étais en ville et je me baladais sans but. Plusieurs personne marchant au centre ville d'Athènes. Je regardais les passants, il y avait des couples, des enfants ,des vieillards et toute sorte de personne qui avait tous un visage différent. je marchais dans la ville et n'avais pas remarque que l'on me suivait. Je tournais au coin d'une rue quand un homme, fus ça poigne, m’attrapa le  bras et me tira vers une ruelle adjacente. Je me débattais quand il me plaqua contre le mur et me dit:

-Reste tranquille ma jolie! Je ne te ferais aucun mal si tu écoute ce que je vais te dire.

Je n'osais plus bouger. Il sentais l’alcool et j'avais peur. Il passa une main sur ma joue. Je frissonnais de dégoût. Je lui dis, la voix tremblante :

-Laisser moi partir... J'ai de l'argent si vous voulez...

Il me regardas et s'approcha encore plus de moi, je sentais l'alcool qu'il avait bus et ça me donnais des nausées. J'avais envie de fuir mais je ne pouvais pas. J'étais coincée et si je criais il allait sûrement me tuer. Il me dit alors:

-Ma chérie la seule chose que je veux ces l'argent que je tirerais de toi, tu sais que tu es très belle et je suis sûr que je pourrais en tirais un bon prix. Alors suis moi et tout iras bien pour toi.

Son sourire me fis froids dans le dos je ne voulais pas le suivre et encore moi devenir l'esclave d'un homme. Je voulais fuir cet homme horrible qui me voulais du mal. Je vis alors une grande silhouette apparaître derrière l'homme. Un grand homme!

Comme souvent sur Terre, les problèmes venaient d’eux-mêmes, comme si cela était normal et même un besoin. Ouranos voyait depuis des millénaires l’homme faire les mauvais choix pour de rare moment de lucidité héroïque. Sous les traits d’Oros, le Guerrier Titan, le Céleste pouvait arpenter la Terre et remettre un peu de droiture dans ce monde sombrant dans sa propre folie. Athènes était une ville magnifique, une puissance architecturale sans précédente et Ouranos était fiers de voir l’homme exercer une telle imagination pour le bien des siens. Du haut de ses deux mètres dix et avec ses cent quarante kilos, Ouranos, sous les traits d’Oros, ne passait pas inaperçu et rare étaient les hors-la-loi qui tentaient quelque chose lorsqu’il était dans les parages. Mais il y avait toujours des têtes brûlées qui voulaient jouer avec le feu. Quitte à se brûler…

Une phrase portée par le vent vint aux oreilles du colosse, la voix douce d’une femme qui ne semblait pas être en bonne compagnie. Prenant la rue d’où venait la voix, Oros tomba sur un homme empoignant une jeune femme. Le regard de cette dernière était clairement empli de peur. Se figeant devant l’inconnu, le Titan répliqua d’une voix roque mais calme. « Laisse cette femme…où je te brise les os ! » Malgré la menace, l’humain n’y prêta pas plus d’attention que cela et sortit une arme, une dague plus exactement. Lâchant la jeune femme, l’agresseur attaqua le colosse mais ce dernier le désarma sans difficulté avant de l’agripper par la gorge et le soulever de terre. « Je t’avais prévenu. » Oros balança ensuite le hors-la-loi contre le mur, l’assommant sur le coup.

Tendant la main à la jolie demoiselle, Oros proposa à cette dernière de le suivre dans un lieu plus fréquenté et plus sûr pour elle. Dans un cas d’agression, il fallait s’assurer que la victime mange quelque chose et surtout boive un verre afin de ne pas tourner de l’œil…

J'entendis sa voix grave qui se répercuta dans l'impasse:

- Laisse cette femme…où je te brise les os !

Mon agresseur sortis une dague et ne s'occupa plus de moi pendant quelque instant. Il sortit une dague et se retourna vers le colosse pour l'attaquer mais il n'avait même pas lever le bras qu'il se faisait désarmé. Il l'attrapa par la gorge et le souleva de terre. Il lui dit:

- Je t’avais prévenu.

Il le lança contre le mur ce qui l'assomma et le tua surement. Je n'avais pas bouger d'un cheveux de la où j'étais, je me sentais mal. Il me tendit la main et me proposa d'aller dans un lieux plus fréquenté. Je mis ma main dans la sienne qui était deux fois plus grande, et je le suivit dans une taverne non loin de où nous étions. On alla s'asseoir à une table et il commanda un verre d'eau. Quand le verre arriva je le pris entre mes mains tremblante et le bus à petite gorgée. Je ne savait pas quoi faire ni quoi dire.

Au bout d'un moments d'hésitation je lui dit d'une toute petite voix:

- Merci de m'avoir...sauvé.

Je n'osais pas le regarder.