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Il ne s'agit pas encore des enfers à proprement parler. On y trouve les âmes des endormis. Si vous traversez l’Achéron, vous tomberez sur Cerbère, et la porte d'airain de l'Hadès. La croisière coûte une obole pour les morts, le rameau d'une sibylle pour les vivants. MAis pous pouvez toujours tenter de ruser...
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C'est un champ onirique, où coule une onde pure. Ici, les âmes valeureuses prennent du bon temps. Boire l'eau du Léthé, ou fleuve de l'oubli, permet à ceux qui le veulent d’entamer une nouvelle vie, entachée seulement de quelques vagues réminiscences.
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C'est une plaine sèche, aux couleurs mortes. Elle s'étend à perte de vue, vide, terne, inlassable. Il n'y a rien, ni souffle de vent, ni végétation, seulement des âmes errantes, qui n'ont ni commis de crime, ni prouvé de valeur particulière. Elles errent et se délavent progressivement. Quelque part au fond de l'Asphodèle se trouve le Styx, qui rend invincible quiconque y plonge.
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Le tartare présente une certaine variété de paysages, au sein desquels les âmes des criminels et autres auteurs de méfaits plus ou moins graves sont occupés à souffrir atrocement. D'où le Cocyte, un fleuve de larmes qui le traverse de part en part. Le Tartare abrite le Palais d'Hadès.
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Au plus profond des enfers, ceinturée d'un fleuve de flammes et de souffre, le Phlégéthon, se trouve la prison des mauvais. Les dieux y jettent ceux qu'ils ne veulent jamais plus revoir.
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Jouez avec le temps et l'espace ! Flashback, anticipation, rêves, délires comateux... tout est possible ici !
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